Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jean mabire - Page 3

  • Les quatre justiciers...

    « Que dire de ses romans, sinon qu'ils sont tous à l'image de leur auteur: haletants, vulgaires, magnifiques ? Bref, vivants, tellement vivants. »

    Jean Mabire, Edgar Wallace, dans Que Lire (tome 5)

     

    Les éditions Auda Isarn viennent de rééditer un roman d'Edgar Walllace intitulé Les quatre justiciers.

    Correspondant de guerre, journaliste, écrivain, Edgar Wallace (1875-1932) travailla également pour le cinéma américain et fut notamment le scénariste du célèbre film King Kong en 1933. Les 4 Justiciers est le premier des 90 romans qui firent de lui, en Angleterre, « le roi du thriller » dans les années 1920-1930.

     

    Wallace_Les Quatre Justiciers.png

    " L’inspecteur Falmouth écoute sonner au loin la cloche de Big Ben. En même temps, il regarde fixement la porte derrière laquelle un homme, un ministre, risque sa vie. Pourtant toutes les précautions ont été prises. Toute la machinerie de Scotland Yard est déployée… Dans les rues, la foule stationne, avide de savoir si le ministre mourra à huit heures précises, comme l’ont juré les 4 Justiciers, ces mystérieux inconnus qui se sont donné pour tâche de pallier les insuffisances de la justice des hommes, de lutter contre les criminels qu’elle est incapable de débusquer et de punir, d’éliminer de la surface du globe les parfaites incarnations du mal qui y sévissent en toute impunité.

    L’inspecteur tend toujours l’oreille. Big Ben sonne le dernier coup de huit heures. Le miracle se serait-il produit ? Le ministre aurait-il échappé à la menace… Mais, soudain, un cri déchire le silence revenu ! L’inspecteur enfonce la porte et se rue dans le bureau… "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Face à la crise des valeurs, la renaissance des dieux...

    La revue Éléments publie cette semaine son premier numéro hors-série consacré aux sagesses païennes qui propose une anthologie des textes les plus marquants sur le paganisme parus dans le magazine depuis 50 ans.

    Au fil de ces 132 pages, le lecteur découvrira, loin des anathèmes et des procès en sorcellerie, l’extraordinaire pluralité des sensibilités qui bouillonne aujourd’hui encore au sein de la revue.

    Le soleil reviendra !

     

    Eléments HS 1.jpg

    Sagesses païennes 
    La renaissance des dieux face à la crise des valeurs
    Hors-série n°1

    Au sommaire du numéro :

    Héritage

    Pour une renaissance des dieux : la libération de l’Europe
    Par Alain de Benoist
    Éléments n° 36, septembre 1980

    Comment peut-on être païen ? Réflexions critiques sur le néopaganisme
    Par Alain de Benoist
    Éléments n° 89, juillet 1997

    L’éclipse du sacré : les dieux à venir ne sont pas encore nés
    Par Guillaume Faye
    Éléments n° 57-58, mars 1986

    Débat

    Michel Onfray et Alain de Benoist : « Un jour, il y aura des dieux »
    Éléments n° 167, août 2017

    Falk van Gaver et Rémi Soulié ou la tentation païenne : ces écrivains catholiques que le polythéisme attire
    Éléments n° 167, août-septembre 2017

    Ce Dieu qui n’existe pas
    Par Jean-François Gautier
    Éléments n° 95, juin 1999

    Figures

    Louis XIV en Apollon
    Par Michel Marmin
    Éléments n° 26, mars 1978

    Bibliothèque païenne

    Quand les écrivains français ressuscitaient les dieux : le grand livre de la nature
    Par Dominique Pradelle
    Éléments n° 36, septembre 1980

    Rencontre avec Henri Vincenot : le vieux Gaulois reste païen
    Par Pierre Vial
    Éléments n° 53, mars 1985

    Le comte Hermann von Keyserling : une expérience du divin
    Par Jean Varenne
    Éléments n° 36, septembre 1980

    Le grand soleil de Jean Cau
    Par Michel Marmin
    Éléments n° 39, Été 1981

    Christopher Gérard : « Païen, je l’ai toujours été »
    Éléments n°186, octobre 2020

    Les soleils invaincus de D. H. Lawrence : Jean de Patmos ou l’Apocalypse pour les nains
    Par François Bousquet
    Éléments n° 180, septembre 2019

    Christian Laborde sur le sentier de la guerre
    Par Pascal Eysseric
    Éléments n° 84, février 1996

    Traditions

    Païennes Pyrénées
    Par Pierre Vial
    Éléments n° 64, décembre 1988

    Une figure mythique : le dieu Cerf
    Par Pierre Vial
    Éléments n° 57-58, mars 1986

    Pour célébrer le solstice d’hiver
    Par Jean Mabire
    Éléments n° 19, décembre 1976

    À la rencontre des dieux maudits : le soleil retrouvé des Hyperboréens
    Par Jean Mabire
    Éléments n° 27, décembre 1978

    À la découverte des dieux du Grand Nord : la saga de l’Edda
    Par Jean Haudry
    Éléments n° 72, décembre 1991

    Découvertes

    Voyage au pays des Kalashs : ces vallées où meurent les dieux
    Par Éric Robert
    Éléments n° 89, juillet 1997

    Éphémérides païennes

    Lien permanent Catégories : Revues et journaux 0 commentaire Pin it!
  • Réflexion sur la politique...

    « Jacques Bainville, un Cassandre si actuel »
    Éric Zemmour  (Le Figaro, 21 avril 2021)

    Les éditions Déterna, diffusée par Francephi, viennent de rééditer un essai de Jacques Bainville intitulé Réflexion sur la politique, avec une préface de Jean Mabire. Journaliste, historien et essayiste influent, Jacques Bainville (1879-1936) a été un des piliers du journal royaliste L'Action française dont il tenait la rubrique "Politique étrangère".

     

    Bainville_Réflexion sur la politique.jpg

    " Jacques Bainville demeure comme l’une des grandes figures du courant de pensée monarchiste, dans la mouvance de l’Action française, entre les deux guerres. Mais son engagement politique ne nuisait ni à sa lucidité ni à l’élégance de son style ; s’il abordait dans ses articles de multiples sujets, touchant aussi bien à la critique littéraire qu’aux questions financières, sa matière de prédilection restait l’histoire, à laquelle il consacra de nombreux ouvrages.

    Les réflexions réunies dans ce recueil sont toujours d’une saisissante actualité et ont même une valeur quasi prophétique ; en quelques chapitres brefs, l’auteur nous livre des aphorismes sur la politique : gouvernement, états, nations…

    La grande œuvre de sa vie est finalement non d’idéologie, mais de métho­de. Il a démontré, mathématiquement pourrait-on dire, l’en­chaî­ne­ment en Histoire des causes et des effets. Il a osé affir­mer que les réalités sont têtues et se moquent des chi­mères, à commencer par les idées dites « généreuses ».

    Chez Bainville, l’étu­de de l’Histoire n’a d’intérêt que si elle débouche sur une action volon­tariste. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • L'aquarium aux nouvelles...

    Les éditions Dutan viennent de rééditer un roman de Jean Mabire intitulé L'aquarium aux nouvelles. Décédé en 2006, Jean Mabire, qui était un des grands écrivains de l'aventure, qu'elle soit historique, mythologique ou politique, a aussi été un combattant pour la cause de l'identité des peuples européens.

     

    Mabire_L'aquarium aux nouvelles.jpg

    " Le Noroît et L’Éclair sont deux quotidiens locaux, dans la Normandie des années 50… À la fois pour endiguer une baisse de ses lecteurs, développer son audience, voire prendre le pas sur son rival plus important que lui, Le Noroît décide d’augmenter sa pagination de 6 à 8 pages, ce qui entraîne un bouleversement pour tous les employés du journal, des techniciens aux rédacteurs : changement d’habitude, heures supplémentaires, angoisse de l’échec dont pourrait dépendre l’équilibre financier, voir la pérennité du journal. Le Noroît se donne douze mois pour savoir si cette aventure sera un succès ou un échec…

    L’atmosphère rappelle les romans de Georges Simenon : elle est celle des années 50, une époque qui vit pleinement au rythme d’une province où « la ville est pleine de petits jeunes gens ambitieux qui ne savent que faire… » et auxquels un des personnages prévoit qu’ils « seront représentants en aspirateurs ou partiront au Sahara pour y chercher un emploi (…) Pas un ne peut devenir journaliste. Il faut avoir toutes les qualités des ambitieux : ténacité, patience, dissimulation, santé, énergie. Mais il ne faut pas avoir d’ambition. »

    Après un passage à l’École nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d’art, Jean Mabire (1927-2006) fonde la revue Viking et un atelier d’art graphique à Cherbourg, « Les Imagiers normands ». Sous-lieutenant de réserve, il est affecté durant la Guerre d’Algérie au 12e Bataillon de chasseurs alpins, à la tête d’un commando de chasse composé aux deux tiers de musulmans. Il deviendra ensuite reporter à La Presse de la Manche, puis collaborera à de nombreuses revues historiques ou politiques, tout en publiant chez la plupart des plus grands éditeurs français. Il est ainsi l’auteur de plus d’une centaine de livres, dont de nombreux récits historiques sur la Normandie, la IIe Guerre mondiale, les religions nordiques et la littérature… Normand et Européen tout ensemble (Président d’honneur du Mouvement normand et membre du comité de patronage de la revue Nouvelle École), il se définissait comme un « socialiste européen ». Une Association des Amis de Jean Mabire (www.jean-mabire.com) existe depuis 2001. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Ungern, le dieu de la guerre...

    Les éditions Lohengrin viennent de rééditer Ungern, le dieu de la guerre, le récit historique de Jean Mabire, avec une préface de Christopher Gérard et de magnifiques illustrations de Jacques Terpant. Décédé en 2006, Jean Mabire, qui était un des grands écrivains de l'aventure, qu'elle soit historique, mythologique ou politique, a aussi été un combattant pour la cause de l'identité des peuples européens.

    Le livre est disponible à la commande sur le site des éditions Lohengrin.

     

    Mabire_Ungern.jpg

    " L’incendie allumé en 1917 par le Bolchevisme emporte dans un tourbillon de feu et de sang le cœur même de l’Asie. Contre les hordes qui déferlent sur le pays ravagé, se dresse, solitaire, un simple chef d’escadron de cavalerie qui se proclame de lui-même général. Il se nomme Roman Feodorovitch von Ungern-Sternberg. D’origine balte, fruste, sauvage, impitoyable, il se veut loup parmi les loups de la steppe. Il va franchir en 1920 la frontière mongole, conquérir Ourga la capitale et tenter de réaliser le grand rêve de Gengis-Khan : la conquête de l’Asie puis de l’Europe. Dernier chef des armées blanches, il sera bien près de réaliser sa folle ambition. Trahi et capturé par les Rouges en 1921, après avoir été célébré par les Mongols comme leur dieu réincarné de la guerre. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Le cri des oies sauvages...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une belle présentation par Erwin Holz de la vie et de l’œuvre de Walter Flex, l'auteur du Pèlerin entre deux mondes et du poèmes Les Oies sauvages...

     

                                 

    Lien permanent Catégories : Multimédia 0 commentaire Pin it!